dilluns, 29 d’agost del 2016

Taboulé Jardin de Quincy

De même qu'il y a des fruits qui sont particulièrement bons mangés sur l'arbre (ou l'arbuste) - et je pense aux cerises, aux framboises et aux mûres -, il y a des plats qui sont infiniment plus savoureux dégustés à un endroit précis, c'est le cas du Taboulé Jardin de Quincy, qui nourrit les corps et les coeurs et la mémoire et donne tout son sens au moment présent :-)

En voici la recette, dictée par l'âme nourricière qui l'exécute avec bonheur tous les étés:

Les ingrédients 
  •   Semoule couscous moyen (ni fin, ni gros : très important !) : 2 tasses bien remplies
  • Citrons jaunes : 2
  • Oignons blancs (c’est-à-dire, frais / doux) : 1 ou 2
  • Tomates mûres mais fermes (et plutôt grosses) : 4
  • Persil : 1 bon bouquet (à défaut de persil, un bouquet de menthe)
  • Huile d’olive, sel, poivre

Attention, la recette est ici expliquée pour 6 à 8 personnes
  •   Eplucher les tomates (4 grosses) et les épépiner un peu (pas tout) puis les couper en tout petits morceaux et les réserver
  • Mettre la semoule à couscous dans un grand saladier
  • Verser le jus de 2 citrons sur le couscous
  • Ajouter de l’huile, du sel, du poivre
  • Couper bien finement les oignons doux et les ajouter à la semoule
  • Verser sur la semoule les tomates et tout leur jus
  • Bien remuer
  • Hacher tout le persil bien fin et le rajouter à la préparation
  • Bien remuer
  • Mettre au frais bien couvert (film plastique) et remuer toutes les 2 ou 3 heures

Si on le prépare la veille on a toutes les garanties qu’il sera bien macéré, meilleur !


Vue du jardin de Quincy, août 2016, Muriel

Et voilà ! Bon appétit, à la prochaine ! Muriel

diumenge, 28 d’agost del 2016

Et, inlassablement, les arbres au bord de l'Yerres, les paysages de Caillebotte

Et, effectivement, inlassablement, fort heureusement même, il y a, dans ma vie, les balades dans les paysages de Caillebotte, les arbres et l'Yerres dans un camaïeu de verts, les verts d'eau si apaisants au regard.

L'Yerres vers le Moulin de Jarcy, août '16, Muriel

L'Yerres vers le Moulin de Jarcy, août '16, Muriel

L'Yerres vers le Moulin de Jarcy, août '16, Muriel

Ces paysages-là me sont chers, même pas de différence entre paysages intérieurs et paysages extérieurs... J'ai eu, ces derniers jours, le bonheur de les faire découvrir à une amie de longue date et, justement, cette constatation-là, vive, par rapport aux paysages intérieurs-extérieurs. Et aussi, cette évidence: ces parages-là sont "les originaux" des tableaux impressionnistes qu'on a en tête. Claude Monet n'est pas forcément venu faire un tour par ici mais, Gustave Caillebotte, lui, était carrément du coin (1848-1894). Le peintre amateur et jardinier, collectionneur, ami et mécène des impressionnistes a si bien rendu ces verts d'eau:


Caillebotte: Yerres, sur l'étang, nymphéas

Caillebotte: Yerres, effet de pluie

Caillebotte: Yerres, les périssoires

Caillebotte: Yerres, les périssoires

J'avais vu l'exposition Caillebotte à Yerres au temps de l'impresionnisme, en avril 2014, à la propriété Caillebotte, et j'en avais consigné la visite dans ce blog: 

En ce moment, les tableaux de Caillebotte sont à Madrid, au Thyssen-Bornemisza, Caillebotte, pintor y jardinero

Pour faire un tour de la propriété Caillebotte, virtuel, pour mettre l'eau à la bouche, les verts d'eau ;-) voici:
http://la-propriete-caillebotte-en-video/ (un très bel endroit, vraiment)

À bientôt mais voici encore, pour la route, l'Yerres et le Moulin de Jarcy:


Moulin de Jarcy, août '16, Muriel

À la prochaine ! Muriel, et... que de moments d'amitié sur fond de Moulin de Jarcy !

dimecres, 24 d’agost del 2016

... suivi du portrait d'un certain pin méditerranéen

Et voici encore un portrait, en 4 photos, d'un autre arbre qui m'émerveille, majestueux, un pin méditerranéen. Il réside dans les mêmes parages que le vénérable figuier, sauf qu'au lieu d'être "dans les terres", côté montagne, il vit en bord de mer, une fort jolie plage, Santa Llúcia qu'elle s'appelle, toute petite, une étendue de galets et de roches dans le Delta de l'Ebre... C'est un bonheur de revoir, pendant l'été, des arbres qu'on trouve beaux, dont on se souvient pendant l'année. J'ai dit majestueux, les photos "ne rendent pas grand-chose", comme pour le figuier, c'est la présence de l'arbre, c'est être en présence de ces arbres, qui fait tout... mais quand même, à vous de voir:

1- Pin méditerranéen, plage de Santa Llúcia, Delta de l'Ebre, été '16, Muriel

2- Pin méditerranéen... été '16, Muriel

3- Pin méditerranéen... été '16, Muriel

4- Pin méditerranéen... été '16, Muriel

Admiration vive pour ces arbres-là, pour  les arbres tout court, la patience et la sagesse qu'ils m'inspirent... et désir tranquille d'être simplement une petite soeur de ces êtres-là...

À bientôt ! Pilar, veus aquí l'arbre amic, magnífic, contemplatiu ?! Gràcies per compartir aquests racons tan íntims, significatius per a tu :-) Recuerdos para Jacinta también ! Muriel

dilluns, 22 d’agost del 2016

Portrait d'un certain figuier...

Il est, sur un lopin de terre d'amitié, un figuier dont j'ai déjà parlé dans ce blog et dit l'admiration qu'il m'inspire, la reconnaissance aussi, bien entendu, que j'ai pour lui (toutes ces figues savoureuses de soleil et de patience !). Je l'ai revu dernièrement et en ai fait ce portrait en quelques photos, qui, je crois, expriment bien de quel bois il est fait:

1- Un certain figuier dans la montagne,
près de Tortosa, Catalogne, été '16, Muriel

2- Un certain figuier... été '16, Muriel

3- Un certain figuier... été '16, Muriel

4- Un certain figuier... été '16, Muriel

5- Un certain figuier... été '16, Muriel

6- Un certain figuier... été '16, Muriel

Un arbre vénérable et bon... mais la terre en question souffre de la sécheresse, la terre avec les arbres et les animaux qui la peuplent... Dernièrement, les sangliers assoiffés s'en sont pris aux racines des plantes plus tendres, ont tout saccagé à l'entour... J'imagine avec tristesse le paysage. Le figuier, lui, n'est pas menacé par les sangliers mais, même si c'est un arbre méditerranéen, rompu à la chaleur, il a besoin d'eau. Il puise profond pour se nourrir, c'est vrai, de toutes ses racines, mais la récolte cette fois-ci ne sera sans doute pas abondante, dommage pour lui, surtout... nous, nous savons bien qu'"il y a des années où les pommiers n'ont pas de pommes", comme chantait Anne Sylvestre.


7- Un certain figuier... été '16, Muriel

Tout mon respect à cet honorable figuier, una abraçada per a la Pilar, d'amistat i també de cònsol, quin greu que els porcs senglars ho hagin deixat tot fet malbé, que trist !

Amitié à Sylvaine aussi (on a tellement écouté Anne Sylvestre !)

alors, pour la route:
Anne Sylvestre- Therese- il y a des annees ou les pommiers

Allez, à bientôt, fins aviat ! Muriel

dilluns, 8 d’agost del 2016

Plaers musicals d'aquest estiu

Dos autèntics regals musicals van arribar a la biblioteca, amb el lot, a principis d'estiu. Entre les moltes hores a la biblio, i juntament amb unes escapadetes "por ahí" i les estones a la platja de sempre, han aportat unes notes genials al meu estiu, que, d'altra banda, encara no s'acaba:

(segell Solfa) - a la biblioteca, signatura CD 3.MOM 11.11

(Sony Music) - a la biblioteca, signatura CD 1.GAR 50

Pur plaer, cada joia en un estil ben diferent per a moments ben diferents !

Un petit tastet ?

Mompou toca Monpou Musica Callada (interpretada pel mestre !)

Erroll Garner- Concert by the Sea
Erroll Garner - Laura


Fins aviat, Muriel

diumenge, 7 d’agost del 2016

Kiwi marítim

Sembla un kiwi, si o no ? Però és una pilota d'algues, obra d'una mar agitada durant tota la nit. Al matí, la platja n'estava tota plena, i jo, mai les havia vist:

Curiós de debò !  En alguna platja molt bonica del Delta,
estiu '16, Muriel

N'hi havia de totes les mides... com per muntar una petita "instal·lació" ;-)
estiu '16, Muriel

Que bé tornar a ser una nena petita vora la mar... Fins la propera ! Muriel

divendres, 5 d’agost del 2016

Delta !

1- Delta de l'Ebre, estiu '16, Muriel

2- Delta de l'Ebre, estiu '16, Muriel


3- Delta de l'Ebre, estiu '16, Muriel

Sí, aquest estiu, he tornat a tenir el privilegi de poder contemplar els paisatges del Delta ! 

Voldria amanir aquest post amb els versos del poeta (farmacèutic i traductor) Gerard Vergés, nadiu del Delta (Tortosa, 1931- 2014):

Parlo d'un riu mític i remorós 
 
Tot sovint penso que la meva infància
té una dolça i secreta remor d’aigua.
Parlo de la verdor d’un delta immens;
parlo dels vols dels ibis (milers d’ibis
com volves vives de la neu més blanca)
i del flamenc rosat (de l’íntim rosa
d’un pit de noia gairebé entrevist).
I parlo del coll-verd brunzint per l’aire
com la pedra llançada per la fona,
de l’anguila subtil com la serpent,
la tenca platejada de les basses.
Parlo del llarg silenci on es fonien
l’aigua dolça del riu, la mar amarga.
 
Parlo d’un riu entre canyars, domèstic;
parlo -Virgili amic- de l’horta ufana,
dels tarongers florits i l’api tendre,
de l’aixada i la falç, del gos a l’era.
(Lluny, pel cel clar, va un vol daurat de garses.)
 
Parlo d’un riu antic, solcat encara
pels vells llaguts: els últims, llegendaris
llaguts, tan afuats com una espasa,
i carregats de vi, de llana, d’ordi,
i amb mariners cantant sobre la popa.
 
Parlo d’un lent crepuscle que posava
or tremolós a l’aigua amorosida,
punts de llum a les ales dels insectes,
solars reflectiments als ponts llunyans.
Dolça remor de l’aigua en el record.



Pilar, gràcies mil pel Delta i... segur que t'agrada molt aquest poema, m'equivoco ?

Fins aviat ! Muriel

dimecres, 3 d’agost del 2016

La guerra no tiene rostro de mujer: no exactamente una lectura de verano... sí, una lectura imprescindible




He aquí el libro que ha sido el mío de cabecera durante el mes de julio, un libro que, aseguro, no se lee rápido, un libro que afecta, mucho, duramente y diría que por bien, un libro importante. Con otra compañera de biblios y gran amiga - se embarcó ella primera en esta lectura y me pasó el testigo-, comentamos que, incluso, tendría que ser una lectura de bachillerato: historia, ciencias sociales, psicología, literatura (está muy bien escrito), geografía, filosofía, en fin, humanidades.

De hecho, interrumpí mi lectura en numerosas ocasiones para repasar la historia, Historia, de Rusia, de la URSS, para mirar una y otra vez el mapa del gigantesco territorio, para buscar la receta de unos pastelitos siberianos que en un momento dado le ofrecen a Svetlana, para entender cómo funcionan los apellidos en ruso, para escuchar (google voz) como se dice "mamá" en ese idioma (las mujeres comentan en varios momentos cómo llaman a su madre cuando están en el frente, para darse fuerza, para escuchar la palabra, porque todo es irreal y porque muchas tienen 17 años y son "niñas de su madre"):

www.google.es=como+se+dice+mama+en+ruso

También, interrumpí mi lectura para buscar fotos de los bosques de abedules, de los uniformes, de los paisajes actuales que han sustituido los de la guerra...

Es una lectura dura, sí, pero en ningún momento se me pasó por la cabeza dejarla. Engancha, nos lleva por los recovecos del alma humana... humana e inhumana... es decir, violentamente humana. Es una lectura para aprender, en el fondo, sobre uno mismo, sobre la historia de uno mismo. Es una lectura que arrastra hacia oscuridades realmente oscuras y eleva hacia transparencias luminosas.

Sin lugar a dudas, es una lectura hermosa también (mido mi palabra) y es una lectura que estoy muy contenta, satisfecha, de haber hecho. La recomiendo, absolutamente, por uno mismo / una misma, por el recuerdo de las mujeres que combatieron en la segunda guerra mundial, por el asombroso trabajo de entrevistas, investigación y reflexión de Svetlana Alexiévich. Son páginas, todas, muy importantes e impactantes sobre la guerra, "el misterio de la guerra". Explica la autora que cuando era joven quería ser capaz, un día, de escribir un libro que, para siempre más, desanimara a los humanos de hacer la guerra... Puede que lo haya conseguido con La guerra no tiene rostro de mujer, a no ser que sólo sea leído por gente ya convencida de que la guerra es nefasta, más que nefasta.

Es un libro que leí con un boli en la mano: tomar notas me fue necesario. Luego, compartiré unas de las frases que tengo anotadas. Son, todas, palabras que me impresionaron por distintos motivos: la unión indefectible de esas mujeres-niñas con la naturaleza (flores, árboles, animales), sus historias de cabello de mujeres jóvenes (de seguida que se alistaban, les cortaban las trenzas y a los pocos meses les salían canas a puñados), sus delicadezas de jovencitas coquetas que se cosían ribetes de gasa en las camisas militares, que podían morir pero "por lo menos rodeadas de flores", que sentían el horror de la nieve empapada de sangre y en el mismo momento la poesía de la escarcha o el rocío al alba, que acechaban el canto de los pájaros y no percibían más que el silencio, que sentían el impulso de besar la tierra, mujeres que, en el frente, dejaban de tener la regla... Mujeres, estudiantes todas, que se acababan de graduar o en todo caso que tenían sueños de ingeniería, enfermería, enseñanza, profesiones diversas a ejercer en un futuro que parecía sonreírles y que se estrenaron bien en sus campos de predilección pero... en el frente, bien en campos que nunca habrían imaginado pues fueron francotiradoras, condujeron tanques...

Son mujeres, las que sobrevivieron, que en la actualidad tienen alrededor de 80 años, o más, y... En fin... sus testimonios son muy valiosos. Se siente (mejor dicho, sentí) el deber moral de leerlos hasta el final. Sí, vale la pena, mucho, en muchos aspectos. En su momento, la Academia sueca dijo que era "un monumento al sufrimiento y al coraje en nuestros tiempos". Y es que Svetlana Alexiévich reúne "los recuerdos de cientos de mujeres que no cuentan una historia de la guerra, más bien la historia de mujeres, y hombres, en la guerra" (contraportada). "Lo que me gusta de Alexiévich es el amor y la compasión que aparece en lo atroz", dice su editor, Miguel Aguilar (Debate) "no es un libro que vaya a hacer que los lectores se sientan bien consigo mismos, pero tiene su recompensa. Es difícil no conmoverse con él".

En cuanto a la propia Svetlana, dice: "No escribo la historia de la guerra, sino la historia de los sentimientos". También dice: "Es en la calidez de la voz humana donde se oculta la invencible tragedia de la existencia, su caos y su pasión, su carácter único e inescrutable, la realidad interior. Digamos, el alma de los sucesos. Para mí, los sentimientos son la realidad".

A continuación, sólo unas de las frases que anoté (entre comillas y de color verde, las palabras de las mismas mujeres y sin comillas, de color azul, los comentarios de la escritora).
  • Estas mujeres tienen apego a sus recuerdos porque todo sucedió cuando eran jóvenes. No se trata de la guerra, sino de su juventud... y también, a menudo, de la época de su primer amor.
  • "Recordar asusta, pero no recordar es aún más terrible".
  • "19 años tenía cuando la guerra se acabó. En la guerra, el alma envejece. Después de la guerra, nunca volví a ser joven... Eso es lo más importante. Es lo que opino".
  • Quiero a estas mujeres como eran antes. No quiero su tiempo, las quiero a ellas.
  • "Para Usted, la verdad está en la vida. En la calle. Bajo nuestros pies. Para Usted, es tan baja, tan terrenal. Pues, se equivoca, la verdad es lo que soñamos. ¡ Es cómo queremos ser !"
  • Escuchar a una persona que te cuenta cómo moría o cómo mataba viene a ser lo mismo: tienes que mirarla a los ojos.
  • La grabadora registra las palabras, graba las entonaciones. Las pausas. El llanto y el asombro... Me da pena no poder "grabar" los ojos, las manos.
  • ¿ Hasta dónde llegan las palabras ? ¿ Qué está condenado a ser inexplicable ?
  • ¿ Qué somos en realidad, de qué estamos hechos ? ¿ De qué material ? ¿ Cuál es su resistencia ? Eso es lo que quiero entender.
  • Todo alrededor [de estas mujeres] es corriente, excepto su memoria.
  • En sus relatos, lo sencillo vence a lo grande, incluso vence a la Historia. 
  • "En la guerra cada uno tiene su propio sueño. Mi sueño era sobrevivir hasta cumplir los dieciocho. Por alguna razón, me asustaba la idea de morir antes, de no cumplir los dieciocho". 
  • "Cómo se habían atrevido a cometer estos crímenes delante de los caballos ? Estarían mirándolos, los caballos ?"
  • "Después de la guerra sentía pena por todos. Por todas las personas, por los gallos, por los perros..."
  • "Al tercer año volvieron los ruiseñores"
  • "Con la guerra, las palabras y los sonidos cambiaron de significado".

Todo muy estremecedor...


Svetlana Alexiévich- 1948, Bielorrusia

Quiero añadir unas palabras de elogio - y agradecimiento - para las traductoras: el libro no sufre en ningún momento el peso de la traducción, es brillante. Ellas son: Yulia Dobrovolskaia y Zahara García González.

En el nº julio-agosto de la revista Librújula, hay unas páginas dedicadas a Svetlana Alexiévich, La Nobel que dirige un coro de voces. Vale la pena leerla. La imagen de la escritora como directora de "coro de voces" es bonita (a parte de acertada).

Entre los muchos títulos que componen la obra de Alexiévich están estos cinco: La guerra no tiene rostro de mujer;  Los últimos testigos. Cien relatos nada infantiles;  Cautivados por la muerte;  Los muchachos de zinc; Voces de Chernóbil;  El fin del "Homo sovieticus". En sus libros, dice, "intento unir periodismo y literatura. El primero trata de la información; la segunda, del misterio de la vida humana."

Es fácil encontrar sitios web que facilitan la lectura de las primeras páginas de sus libros.
Y este link lleva a La guerra no tiene rostro de mujer :
elcultural.com/fragmento-alexievich/guerra-no tiene-rostro-mujer.pdf

También hay varias entrevistas disponibles, ésta, por ejemplo:
Alexievich en entrevista con Marta Ruiz-Bogota-CulturaEnBta-abril-2016

Y acabaré aquí... no sin un deseo desde este blog: que un buen día, los ruiseñores no tengan nunca más que callar durante tres años... 

Que cante el ruiseñor !

El ejemplar de nuestra biblio, lo tiene ahora otra compañera, le he pasado el testigo. 

Hasta la próxima, Muriel y... un abrazo para Ghislaine, otro para Elena (compañeras de lectura)