diumenge, 28 de juliol del 2013

Ben Nevis, Robert Burns, Auld Lang Syne

La montagne comme un animal endormi, envie d'en caresser le flanc, envahie par l'émotion... les parages du Ben Nevis, après tant d'années dans le tourbillon de la vie... 

Parages du Ben Nevis - 07-13, Muriel 

Wild Mountainside, 
poème de Robert Burns *
Beauty is within grasp
Hear the islands call
The last mile is upon us
I'll carry you if you fall
I know the armour's heavy now
I know the heart is tired
It's beautiful just over
The wild mountainside
Snow is falling all over
Out of clear blue sky
Crow is flying high over
You and I are going to wander
High up where the air is rare
Wild horses ride
It's beautiful, let's go over
The wild mountainside
Wild and free we roam
Only a mile to go
Wild and free we roam
Only a mile to go
Beauty is within grasp
Hear the highlands call
The last mile is upon us
I'll carry you if you fall
I know the armour's heavy now
I know the heart inside
It's beautiful let's go over
The wild mountainside
It's beautiful just roaming
The wild mountainside.
* Robert Burns: poète national écossais, 1759-1796, auteur, entre autre de Auld Lang Syne, connu en français comme... Ce n'est qu'un au revoir! 

Pour écouter ces textes chantés via Youtube, clic clic:

 Wild Mountainside, poem by Robert Burn, Eddi Reader

À bientôt ! Muriel

divendres, 19 de juliol del 2013

Trois "vieilles" copines retrouvées saluant lesTrois Soeurs toujours là

Glencoe - Three Sisters, 07-13, Muriel

Trois copines photographiant les Trois Soeurs, Glencoe, 07-13, Muriel

Nous voilà, les trois vieilles copines, enfin retrouvées, enfin retrouvant les Three Sisters à Glencoe, la montagne des Trois Soeurs, toute chargée d'Histoire, d'histoires aussi, de souvenirs, de nos souvenirs à nous... Un moment de grand bonheur, nous vous saluons bien bas ! Après un moment de contemplation recueillement, clic, dans la boîte à photo, toutes les trois en même temps, notre ombre sur l'asphalte nous fait sourire... On n'attendra plus si longtemps pour revenir dans le coin ! 

À bientôt, clin d'oeil à Super José et Wee Miss Stone ! Muriel


dimarts, 16 de juliol del 2013

From Glasgow with love

 
Postcard-G17- Glasgow Coat of Arms (detail from Glasgow Tram) Roman Photography

Les armoiries de Glasgow ne datent que de la moitié du 19ème siècle et relatent les miracles de Saint Mungo, apôtre à la fin du 6ème siècle dans le royaume de la Strathclyde en Écosse et saint patron de la vilel de Glasgow [http://homepage.ntlworld.com/sstewart1873/Index/webpages/Legend.htm]

Vet aquí l'arbre
que no va créixer mai,
vet aquí l'ocell
que no va volar mai,
Vet aquí el peix
que no va nedar mai
Vet aquí la campana
que no va repicar mai.

Deixeu Glasgow prosperar !


Voici l'arbre
 qui n'a jamais poussé
Voici l'oiseau 
qui n'a jamais volé
Voici le poisson 
qui n'a jamais nagé
Voici la cloche 
qui n'a jamais sonné.

Laissez Glasgow s'épanouir !  


Lo dicho, from Glasgow with love, xxx, Muriel


Glasgow - 04-13, Muriel

dimarts, 2 de juliol del 2013

La Fin, poème de Jules Delavigne et coucher de soleil sur une plage (presque) déserte


Coucher de soleil, Costa Garraf, Muriel, '13

Envie de partager ce coucher de soleil et - surtout ! - ce poème avec vous.  Je viens de le découvrir, je trouve que c'est vrai, que c'est comme ça, que c'est exactement comme ça ! J'aime toujours tellement regarder le soleil qui se couche, je suis souvent déçue de moi-même de ne pas savoir arrêter tout ce que je fais pour contempler ce spectacle du haut de mon immeuble... Et, indéniablement, je suis fascinée par les fins, par "comment ça se finit", le livre, le film, le chemin, les cheminements de la vie en général ! 
La Fin
Pourquoi on aime tellement regarder le soleil qui se couche ?
Sur un lac doré, derrière une montagne rose
Ou sur une plage déserte un soir d’été
Cette boule de feu plongeant doucement dans la mer lointaine
Le soleil qui se lève, c’est l’expectation, le début
Mais les débuts sont vides, nous les comprenons
Les débuts sont là pour donner du sens aux fins
Nous sommes toujours fascinés par les fins
Même si ce ne sont que des fausses fins
Comme la fin d’un voyage ou d’un film
On sait bien qu’à la fin d’un film, l’histoire continue après
Il faut juste l’écrire
Le soleil qui se couche doucement un soir d’été
Nous ramène chaque fois vers cette fascination de la fin
La fin de la journée ou la fin sans fin ?
Regarder le soleil qui se couche nous aide à mieux comprendre
Que nous ne comprenons rien de la fin, car la fin c’est la fin
Et à la fin, il n’y a rien
Jules Delavigne*, Conclusions, 2008
* Jules Delavigne est un éditeur, rédacteur et poète français (né en 1962 en Angleterre ou il grandit avant d'entreprendre une série de voyages et de s'installer en France). Conclusions est son 1er recueil de poésie
À bientôt, Muriel