dimecres, 30 d’abril del 2014

De guaduales en guayabos...

Y, siguiendo un itinerario íntimo, la canción de Los Guaduales me lleva a la del Guayabo negro... y al sonido del arpa llanera... érase una vez en los Llanos orientales en Colombia...

Selon un itinéraire intime, la chanson de Los Guaduales me conduit droit à celle de Guayabo negro... et j'entends au loin, très loin, la harpe des grandes plaines de la Colombie orientale (los llanos orientales)...


Arpa llanera colombiana
foto: colombiabellafolclor.blogspot.com.es

Guayabo negro nunca me 
Digas adiós, digas adiós 
Que es una palabra triste.  

Corazones que se quieren, 
Corazones que se quieren 
Nunca deben despedirse. 

Como se mecen las palmeras 
Con la brisa como se secan 
Las espinas con el sol 
Así se apaga mi vida
Como errante mariposa 
Que vuela de flor en flor.  

Las golondrinas con sus últimas 
Palabras se me han quedado 
Enredadas en el pecho. 

No pueden cantar, 
pero no pueden cantar 
ni pueden alzar el vuelo. 

Guayabo negro pregúntale a la sabana 
Si alguna vez por allí me vio pasar. 

Guayabo negro maldito donde 
Amarro mi caballo 
Cuando vuelvo del palmar. 

Guayabo negro nunca me 
Digas adiós, digas adiós 
Que es una palabra triste. 

Corazones que se quieren, 
Corazones que se quieren 
Nunca deben despedirse. 

Guayabo negro (joropo llanero)-YouTube

Recuerdos para los amigos de allá y de entonces et clin d'oeil à Sylvaine qui avait traversé la grande flaque pour venir me voir et barouder un peu, puis, pensée profonde pour M.A. sans qui les chansons prennent un ton plus grave soudain.

À bientôt, hasta pronto, Muriel

dimarts, 29 d’abril del 2014

Lloran los guaduales... y también cantan; les bambous pleurent et ils chantent aussi

Todos somos como los guaduales* que van llorando o cantando por la vida... a la vera del camino...

Nous sommes tous comme les bambous qui pleurent et qui chantent aussi au bord des chemins... C'est une chanson traditionnelle colombienne qui me revisite régulièrement... J'avais tout de suite adoré cette chanson, la musique, les paroles... (los guaduales: en Colombie, les bambous)

Hace días que me vuelve como música de fondo esta canción colombiana de Los Guaduales... Me enamoró su música y su letra en los años pasados entre aquellos parajes... Linda gente, hermoso paisajes y música para cada momento... Es una  canción se quedó bien grabada dentro de mí...

* Guaduales: así se llaman los bambúes en Colombia

Lloran, lloran los guaduales
porque también tienen alma;
y los he visto llorando,
y los he visto llorando
cuando en las tardes
los estremece el viento en los valles. (bis)

También lo he visto alegres
entrelazados mirarse al rí­o;
danzar al agreste canto
que dan las mirlas y las cigarras.
O envueltos en polvaredas
que se levantan en los caminos;
caminos que azota el viento
al paso alegre del campesino. (bis)


Y todos vamos llorando
o cantando por la vida.
Somos como los guaduales
a la vera del camino.

Los Guaduales, Garzón y Collazos - YouTube


Partager des chansons, un bonheur... Allez, à bientôt ! Hasta luego, Muriel (pensée profonde pour M.A.) 

diumenge, 27 d’abril del 2014

Temporada de roses

Torreblanca, dia de la Moreneta, 27-04-14, Muriel
.
Felicitats a les meves Montse, pensée profonde pour M.A.

"Pour connaître la rose, quelqu'un emploie la géométrie, et un autre emploie le papillon."
"Per a conèixer la rosa, algú fa servir la geometria, un altre fa servir una papallona."
Paul Claudel (dramaturg i poeta francès, 1868-1955)

À bientôt, fins aviat,  Muriel

dimecres, 23 d’abril del 2014

Sant Jordi de roses i lletres

Rebo aquest regal de Sant Jordi en aquest moment precís, fet expressament per a mi diu el missatge que l'acompanya:

Une rose, un livre, exprès pour toi ! Aïna, 23-04-14

I és que contra vents i marees, amb roses i llibres i carinyo, la vida vida va, la vida és bella...
Fins ara, Muriel

Amitié

Un poème d'Alfred de Musset, en ce jour très très particulier pour moi, où une absence aberrante est en train de devenir - est déjà- une présence-autrement :

A M. V. H.


Il faut, dans ce bas monde, aimer beaucoup de choses,
Pour savoir, après tout, ce qu’on aime le mieux,
Les bonbons, l’Océan, le jeu, l’azur des cieux,
Les femmes, les chevaux, les lauriers et les roses.
Il faut fouler aux pieds des fleurs à peine écloses ;
Il faut beaucoup pleurer, dire beaucoup d’adieux.
Puis le coeur s’aperçoit qu’il est devenu vieux,
Et l’effet qui s’en va nous découvre les causes.
De ces biens passagers que l’on goûte à demi,
Le meilleur qui nous reste est un ancien ami.

On se brouille, on se fuit. Qu’un hasard nous rassemble,
On s’approche, on sourit, la main touche la main,
Et nous nous souvenons que nous marchions ensemble,
Que l’âme est immortelle, et qu’hier c’est demain.
Pour M.A., pensée profonde, Amitié "à la vie, à la mort", Muriel

dissabte, 19 d’abril del 2014

Arbres amis, paysages - déjà - empreints du souvenir

Les arbres m'apporteront  toujours quelque réconfort... Au détour d'un chemin, aujourd'hui, dans les jardins de la propriété Caillebotte, un très gros tronc de platane, moussu, et à hauteur d'yeux, cette marque d'une écaille d'écorce, tombée, laissant une cicatrice naturelle en forme de coeur:

Yerres, propriété Caillebotte-1, 19 avril 2014, Muriel

Il est, dans cette région, et dans ce parc, de très très beaux arbres:


Yerres, propriété Caillebotte-2, 19 avril 2014, Muriel

Yerres, propriété Caillebotte-3, 19 avril 2014, Muriel

Pensée profonde pour toi, ma Grande Camarade... On m'a pris par la main, ce matin, et on m'a dit: "Viens, on va faire faire un tour du côté de chez Caillebotte, juste-là, à Yerres, le parc est magnifique et ses tableaux sont exposés, la beauté, ça fait forcément du bien."... Tu étais tellement avec moi, tu aurais adoré voir ça, et on aurait ri, et on se serait revues vers le Moulin de Jarcy, avec les barques, les chevaux... C'était l'époque du lycée...





Alors, voilà ce que j'ai fait ce matin, ce que j'ai vu... Oui, la beauté est un baume... pas pour aujourd'hui encore mais je garde les émotions comme un trésor aussi de notre amitié.

Allez... Muriel (et grand merci à toi mon gentil neveu)

diumenge, 13 d’abril del 2014

Arbres versus mots

Des arbres, qui aujourd'hui se passent de mots ... 
Avui, en lloc de paraules, arbres... 

Forêt de Sénart-1, 13 avril 2014, Muriel
Forêt de Sénart-2, 13 avril 2014, Muriel
Forêt de Sénart-3, 13 avril 2014, Muriel
Forêt de Sénart-4, 13 avril 2014, Muriel
Forêt de Sénart-5, 13 avril 2014, Muriel

C'est, paraît-il, Dimanche de Rameaux, Diumenge de Rams... Casualitat... 
"Ma" forêt me ressource. Aquest "meu" bosc: un refugi... 

À bientôt, Muriel (Pensée forte pour Ma Grande Camarade, bises à mon Neveu)